Le constat est là : nous consommons trop, et trop vite.
Cette surconsommation n’est pas seulement une question d’objets, c’est un mode de vie à repenser.

L'impact environnemental de l'industrie textile est immense.
Pour fabriquer un simple t-shirt en coton neuf, il faut près de 2 700 litres d'eau. À cela s’ajoutent les gaz à effet de serre, les polluants rejetés dans nos rivières, et des conditions de travail souvent précaires pour celles et ceux qui confectionnent nos vêtements.

L'impact environnemental de l'industrie des jouets est tout aussi préoccupant.
La majorité des jouets sont fabriqués à partir de plastique, un matériau dont la production est énergivore et polluante. 100 000 tonnes de jouets par an finissent à la poubelle, selon l’ADEME (Agence de la transition écologique). En plus des émissions de gaz à effet de serre liées à leur production, ces jouets contiennent souvent des produits chimiques qui nuisent à l'environnement et à la santé des enfants, tout en ayant une durée de vie très limitée.

La question se pose alors :
Est-ce que nos enfants méritent d’hériter d’un monde dégradé pour avoir porté des vêtements neufs qui ne durent qu’une saison ou pour avoir joué avec des jouets en plastique qui finissent rapidement à la poubelle ?

Nous croyons qu'il existe une autre voie : consommer moins, mais mieux.

Chez Badoum Badoum, nous avons fait le choix de la seconde main de qualité, qui exclut la fast fashion et le tout plastique, pour offrir des produits beaux, durables et respectueux de l'environnement.

Acheter un vêtement ou un jouet de seconde main chez nous, c'est réduire la demande pour des articles neufs, économiser des ressources naturelles, et donner une nouvelle vie à des objets sélectionnés pour leur qualité. C'est aussi enseigner à nos enfants l'importance de la durabilité et leur montrer que ce qui existe déjà est tout aussi précieux.